J’ai quand même bien chargé la mule avec le mastic. La tôle avait mal acceptée le sablage industriel, trop puissant même avec du grain taille zéro. Rattraper un flanc de Combi entier c’est rude quand on y connais rien.
Et puis comme ca ne suffisait pas on m’a conseillé d’appliquer un mastic polyster …. ce dont je me souvien le plus ce sont les heures de ponçage à la main avec une cale en bois.
|
|
|
|
|
|
Les premiers tours de roue avec un réservoir de fortune, pas de marche arrière (le « flector » de tringlerie de boite trop fatigué ainsi que la bague en plastique sous le levier de vitesse).
|
|
|
|
|
|
Je manque de photos … remontage des trains avant et arrière, peinture des jantes :
|
|
|
Pour le train avant je n’avais pas fait grand chose si ce n’est de le nettoyer et de le peindre. Mais plus tard, pour le contrôle technique, j’ai du sérieusement me pencher dessus : changer toutes les rotules de direction, graisser les lames de torsion, ajuster le jeu du boitier de direction …
|
|
|
On n’en fini jamais de sabler, disquer, remplacer, souder …
|
|
|
|
|
|
Après la boite de vitesse, le moteur. J’ai récupéré un 1300 cm3 d’occasion dans un état douteux. Mais il démarre et fera bien l’affaire pour commencer (pour marquer la date j’avais pris un journal avec l’annonce de la mort de Cousteau, pas très fun …). Comme pour la boite, je n’ai pas ouvert le bas moteur (j’y connais rien en fait). Mon père de le nettoyer et de le repeindre pour le rendre présentable … pendant ce temps je continue la carrosserie si je me souvent bien !
|
|
|
|
|
|
