Cox de 1958 avec toit ouvrant, flèches (du moins dès que j’en aurai trouvées !) et son pied moulé …
Après avoir nettoyé le réservoir d’essence, la pompe à essence, changé le filtre à essence et gonflé les pneus nous sommes allez passer le contrôle technique. Bon il a fallu changer aussi les tambours arrières qui étaient ovalisés et passer une contre visite.
Je dois avouer qu’un de mes meilleurs amis est chaudronnier (et il est son propre patron), ça aide ! Surtout quand il faut fabriquer des bas de caisse avec le galbe qui correspond à l’origine.
Mais du coups il m’a appris à couper la tôle, droite de préférence. On tire un trait à la règle après avoir bien mesurer. On entame un peu la tôle en suivant le trait, comme pour former un sillon qui va guider la disqueuse lors du passage final.
Etant donné que sa tôle est droite grâce à une machine industrielle à couper la tôle, c’est simple à ajuster. Il ne reste plus qu’a pointer par quelques points de soudure.
Ensuite, j’ai disqué, tronçonné, coupé, meulé … pendant des heures interminables !
Mais la dentelle rouillée n’a pas sa place sur la carrosserie de mon Split. Tous les bas de caisse sont rongés par la rouille. en fait je passe ma main à travers sans peine.
Le nez de la face avant est quasi inexistant et tout le monde me dit (à l’époque) que ça n’existe pas en tôle de reproduction. Mais rien d’insurmontable on trouvera bien une solution.
Les longerons sont en bon état, il a un support de cric à changer, le plancher avant sous les pieds du passager, les passages de roues avant … j’en oubli certainement !
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C’est l’histoire du marchand de sable …
Donc fin 1997, j’effectue un sablage les parties basses et plus je sable et plus je découvre l’étendu des dégâts !
C’est la première fois que je restaure un véhicule, quand je commence à réaliser la somme de travail à effectuer …
hé bien je me dis qu’une fois commencé il faut bien terminer !!!
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Un copain de promo de retour de weekend, me dit : « j’ai trouvé ton Combi ! ».
Après 300km et négociation avec le propriétaire (l’équivalent de 500 € je crois) je repart avec un Combi split de 1964 à restaurer. Quasiment complet mais bien abimé par son ancien travail (maçon) et le temps. c’était en début d’année 1997 !
2007 ! 10 ans après le Combi l’envi de bricoler me reprend … Je dégote une 1302 cabriolet de 1971 à restaurer. Un cabriolet quand on habite au soleil c’est sympathique, non ? et un MacPherson c’est une seule rotule de suspension, pas de lames de suspension à graisser, pas 4 rotules de suspensions à maintenir en bon état. Il ne restera qu’à trouver une crémaillère et se sera le top !
Mais 10 ans après je n’habite plus chez papa et maman, la cox part pour un garage près de chez moi …
Près de 400 km de voyage bien confortable pour tous les deux. Cette dépanneuse permis B est vraiment bien pratique. J’ai pu rouler l’esprit tranquille jusqu’à destination.
